Du 5 au 14 septembre à la Maison du Peuple de Renens, une exposition-vente réunit des artistes de Palestine et des collègues solidaires de Suisse.

Marius Daniel Popescu poursuit son entreprise autobiographique avec Le Cri du barbeau, qui part à la pêche aux instants.

Entre autofiction indirecte et bio­fiction mémorielle, l’autrice tunisienne signe un roman historique sur la reine malgache Ranavalona III, qui séjourna en Tunisie.

Grand peintre et aquarelliste, Albert Chavaz (1907-1990) a aussi gravé avec talent, comme le montre le Musée Jenisch.

A Sion et au-delà, avec expos, perfos ou concerts, la 2ème Biennale Son
pointe les fructueuses convergences entre arts visuels et créations sonores.

Primé à ­Visions du Réel, le documentaire Les Vies d’Andrès dévoile l’absurdité du ballet des camions qui ali­mentent notre consommation sans fin.

Au Festival de Venise, fictions et documentaires, manifestations et déclarations publiques ont exposé les contradictions du monde artistique face à la tragédie palestinienne.

Par amour du septième art et par stratégie, quelques cinémas romands sortent des films qui n’ont pas trouvé de distributeur en Suisse. Deux exemples à Lausanne.

David Cronenberg revient à ses obsessions techno-organiques pour explorer la douleur du deuil dans un thriller vertigineux.

Léopard d’or à Locarno, le premier long métrage de la Lituanienne Saulė Bliuvaitė bénéficie d’une sortie inespérée.

Les claviers se mettent dans tous leurs états de jeudi à dimanche, à Genève. «Cataclysme Piano» mise sur l’insolite entre univers circassien, musique contemporaine, jazz, electro ou classique, installation et expérience culinaire.

Dave Chisholm raconte Miles Davis dans un roman graphique fascinant qui voit défiler tous les grands noms du jazz.

Contrechamps et le Collegium Novum Zürich présentent THE GAP, concert-installation de Katharina Rosenberger ce week-end à La Bâtie.

Pour sa 7e édition, le Tourne-Films Festival Lausanne (TFFL) invite à (re)découvrir des films restés célèbres pour leur bande originale, dès mercredi 3 septembre.

Entre autofiction indirecte et bio­fiction mémorielle, l’autrice tunisienne signe un roman historique sur la reine malgache Ranavalona III, qui séjourna en Tunisie.

L’historienne genevoise Vanessa de Senarclens s’essaie à un jeu de pistes vertigineux pour reconstituer la bibliothèque de sa belle-famille, disparue durant la Seconde Guerre mondiale.

Sébastien Ménestrier, auteur et musicien, signe La Petite Zone avec de la lumière, comme une chanson qu’on entonne pour se réconforter des accidents de la vie.

A la table des loups, une sombre fresque familiale dans laquelle Adam Rapp explore la banalité et l’héritage du mal sur trois génération.

A Sion et au-delà, avec expos, perfos ou concerts, la 2ème Biennale Son
pointe les fructueuses convergences entre arts visuels et créations sonores.

Un projet fait vivre la collection patrimoniale du musée sur les murs de Genève.

Au Musée Jenisch, la collection de Thierry Barbier-­Mueller est présentée pour la première fois.

La Biennale Son marque sa seconde édition qui débute le 30 août prochain, par une collaboration inédite avec le Centre Pompidou de Paris.

Danseur, chorégraphe et pédagogue, Thomas Hauert se verra décerner le Grand Prix suisse des arts de la scène /Anneau Hans Reinhart 2025. Anne Davier de l’ADC recevra un des neuf autres prix.

Un collectif se glisse dans la peau d’un cheval dans la première des cinq nouvelles créations de la Maison Saint-Gervais. Tour d’horizon avec sa directrice Sandrine Kuster.

Retour sur l’ouverture de La Bâtie, jeudi dernier, avec un ­hommage à son futur ex-directeur, Claude Ratzé, et deux spectacles de danse dont un à voir encore ce mardi soir.

A Genève, Sorelle rend hommage à l’une des rares femmes peintres ayant traversé les siècles du baroque.

Signée James, une bande dessinée offre un regard vivifiant sur le langage courant. Du coup, vers quoi court-il, sinon à sa perte?

Dans une BD au vitriol, Dominique Ziegler et Alex Baladi reviennent, sous forme en partie fictionnelle, sur le glissement néo-réac de Charlie Hebdo impulsé par Philippe Val. Entre jubilation et léger malaise.

Un album revient librement sur le parcours de Martial Richoz, marginal lausannois devenu légende en se prenant pour un conducteur de bus.

L’Illusion helvétique, crème de la bd documentaire, démonte des clichés bien ancrés dans les esprits en termes d’écologie ou de militance.