Surviving Men entraîne depuis mercredi le public neuchâtelois dans l’arène du patriarcat. Un dialogue didactique (un peu), engagé (beaucoup) et ludique (passionnément).
Le metteur en scène genevois reprendra la direction du Grütli. Le théâtre côtoiera la performance et la danse. Ouverture à la pluralité des genres et rencontre avec de nouveaux publics hors les murs.
Entre Bergman et Antonioni, Nous par le ciel si bas de Julien Mages nous entraîne dans les remous d’une relation entre deux sœurs. A l’affiche à Lausanne avant Genève.
Le comédien français est le Prince de Hombourg dans la pièce éponyme d’Heinrich von Kleist, à voir jusqu’au 10 décembre à Vidy puis dès le 13 décembre à Saint-Gervais.
Pietro Musillo monte Le Père de Florian Zeller à l’Alchimic de Carouge. Pièce tragi-comique qui joue au chat et à la souris avec les souvenirs d’un homme à la mémoire évanescente.
Sous les traits des marionnettes de Cécile Chevalier, les musicien·nes de l’illustre formation genevoise égaient le quotidien des petits et des grands au Théâtre des Marionnettes de Genève.
Ludovic Chazaud nous embarque dans une fascinante Belle et la Bête contemporaine, sous un angle féministe et sororal bienvenu. A voir à la Comédie de Genève.
Dirigée par Sandra Gaudin, la grande actrice joue dans Who plays Who, spectacle inspiré d’une pièce de John Cassavetes. A voir à Nuithonie, à Fribourg, du 16 au 19 novembre.
Comment aborder le harcèlement scolaire au théâtre? A travers une galerie de personnages évoqués par une petite fille ronde confrontée à la violence dans Le journal de Grosse Patate.
A Genève, le Poche revisite la pièce Krach écrite par Philippe Malone après la vague de suicides des années 2010 dans de grandes entreprises françaises.
A l’Oriental de Vevey, un récit envoûtant retrace le parcours d’un très brillant lanceur d’alerte de la Renaissance, Giordano Bruno, mort sur le bûcher.
Dès vendredi, au Théâtre populaire romand, la comédienne et violoniste Camille Mermet racontera Denise. Une femme dont on ne verra jamais la présence, mais que tout le monde semble connaître.
Le metteur en scène Guillaume Béguin a été l’un des premiers en Suisse romande à faire découvrir l’écriture dramatique de Jon Fosse, Prix Nobel de littérature.